Flore de France - Plantes du Québec - Plantes d'Europe - Valérianacée européennes
Photo de Fleur - Photos de Valerianaceae - Photo de Valériane
(Sous réserve de bonne identification)
Ordre : Dipsacales
Famille : Valerianaceae - Valérianacées
Tribu : Valerianeae
Genre : Valeriana
Espèce : Valeriana officinalis
Mots-clés : Valerianaceae Valeriana Valériane
La Valériane officinale (Valeriana officinalis, Syn. Valeriana exaltata, Valeriana multiceps, Valeriana sambucifolia, Valeriana altissima, Valeriana pinnata...) appelée également Valériane des collines ou Valériane à petites feuilles, est une plante herbacée, vivace, à rhizome, d'aspect variable, originaire d'Asie et d'Europe (y compris de France), naturalisée en Amérique du Nord (y compris au Québec), qui croît dans les prairies humides, au bord des routes et des chemins, dans les pentes herbeuses, le long des cours d'eaux, dans les sols perturbés, dans les forêts et à leur lisière, du niveau de la mer jusqu'à plus de 3000 mètres d'altitude par endroits.
La Valériane officinale possède une tige dressée, creuse, cannelée, cylindrique, rameuse dans sa partie supérieure, pouvant atteindre 150 centimètres de haut. Les feuilles, de forme variable, presque toutes ailées, les radicales longuement pétiolées, les caulinaires opposées, progressivement moins grandes en allant vers le sommet, profondément divisées, caduques. Les fleurs, hermaphrodites, à corolle blanche ou rosée, sont groupées en corymbes terminaux. Le fruit est un akène surmonté d'une petite aigrette plumeuse.
Dans les livres anciens la Valériane officinale possède divers noms vernaculaires comme : "Valériane sauvage" (Flore du nord de la France, 1803), "Valériane des bois" (Histoire naturelle des végétaux, Spach, 1841), "Grande valériane", "Herbe au chat" (Matière médicale indigène, ou, Histoire des plantes médicinales qui croissent spontanément en France et en Belgique, 1848), "Valériane médicinale" (Flore élémentaire des jardins et des champs, 1855), "Herbe à la meurtrie" (Dictionnaire de médecine, 1865), "Herbe aux coupure", "Herbe aux chats" (Mémoires de la Société Académique d'Archéologie, Sciences et Arts, 1868), "Herbe de Saint-Sébastien" (Bulletin de la Société philomatique vosgienne, 1882)... Dans la Flore populaire d'Eugène Rolland, on rencontre également les noms suivants : "Herbe des douleurs", "Herbe du loup", "Chasse puce", "Herbe noire Dame"...
La Valériane officinale possède une tige dressée, creuse, cannelée, cylindrique, rameuse dans sa partie supérieure, pouvant atteindre 150 centimètres de haut. Les feuilles, de forme variable, presque toutes ailées, les radicales longuement pétiolées, les caulinaires opposées, progressivement moins grandes en allant vers le sommet, profondément divisées, caduques. Les fleurs, hermaphrodites, à corolle blanche ou rosée, sont groupées en corymbes terminaux. Le fruit est un akène surmonté d'une petite aigrette plumeuse.
Dans les livres anciens la Valériane officinale possède divers noms vernaculaires comme : "Valériane sauvage" (Flore du nord de la France, 1803), "Valériane des bois" (Histoire naturelle des végétaux, Spach, 1841), "Grande valériane", "Herbe au chat" (Matière médicale indigène, ou, Histoire des plantes médicinales qui croissent spontanément en France et en Belgique, 1848), "Valériane médicinale" (Flore élémentaire des jardins et des champs, 1855), "Herbe à la meurtrie" (Dictionnaire de médecine, 1865), "Herbe aux coupure", "Herbe aux chats" (Mémoires de la Société Académique d'Archéologie, Sciences et Arts, 1868), "Herbe de Saint-Sébastien" (Bulletin de la Société philomatique vosgienne, 1882)... Dans la Flore populaire d'Eugène Rolland, on rencontre également les noms suivants : "Herbe des douleurs", "Herbe du loup", "Chasse puce", "Herbe noire Dame"...
Valériane officinale - Valeriana officinalis |
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